Régina tournait en rond dans son petit appartement miteux moldu. L'apparance de Yulia Roosevelt disparaissait de plus en plus pour laisser face à son vrai visage, celui d'un mère terriblement inquiète. Elle avait beau savoir que cette maladie était moins dangereuse lorsque l'enfant était encore jeune. Victor s'était fait très rassurant dans ce petit mot qu'il lui avait envoyé, mais elle ne pouvait s'empêcher d'avoir une seule envie : Aller rejoindre sa fille à Ste-Mangouste. En ce moment, elle ne donnait plus d'importance au risque de se faire coincer ni même au risque qu'elle avait de contracter la dragoncelle, elle voulait seulement être à ses côtés.

Elle prit finalement la décision de changer son physique pour celui d'une personne âgée tout ce qu'il y a de plus banale et elle quitta en direction de Ste-Mangouste. Elle se dirigea jusqu'au deuxième étage et dû demandé son chemin à quelques reprise. Une fois arrivée devant la porte de la chambre d'Ilaria, Régina prit une grande respiration et elle hésita quelques instants avant de pousser la porte. Saevus y serait certainement et elle craignait tellement qu'il ne la laisse pas la voir... Régina vint saisir le masque de protection qu'elle s'était apportée afin de ne pas attraper cette maladie et le posa contre son visage. Elle utilisa son courage et poussa enfin la porte, rien n'allait pouvoir l'empêcher d'être près de sa petite fille. Le regard de la femme âgé se posa sur Saevus et dès l'instant où elle eut refermer la porte, elle reprit sa propre apparence les courts cheveux blancs devinrent longs et dorés. La vue de sa petite fille dans ce lit d’hôpital fut très difficile pour son coeur de mère. La dernière fois qu'elle l'avait vu, elle était pleine de santé et énergique comme à son habitude. Sa peau était tellement pâle qu'elle avait des teintes de verts et Régina aurait aimé pouvoir faire disparaitre tout ce mal en un coup de baguette.

Ilaria dormait encore donc elle fit doucement quelques pas vers elle afin de ne pas la réveiller. Son regard se posa alors sur son mari. Régina ignorait ce qu'elle pourrait lui dire pour qu'il la laisse passer du temps près d'elle, mais elle devait essayer. « Mon amour... Je t'en prie laisse moi passer un peu de temps avec elle. » Régina avait chuchoté afin de passer inaperçut autant pour Ilaria que pour les sorciers qui se promenaient dans le couloir. Elle faisait bien attention de ne pas se trouver vis-à-vis une fenêtre, ce n'était pas le moment de se faire reconnaitre. Il aurait sans aucun doute été plus sécuritaire de rester sous la forme de l'aînée, mais elle voulait être elle-même pour sa petite chérie ...et pour Saevus également.

Notre ? Elle ignorait si elle devait voir sa comme une amélioration. Il continuait d'être absolument convaincu qu'elle n'aimait ni les enfants ni lui. Comment lui en vouloir de croire qu'elle l'avait épousé et avait élevé ses enfants pour mieux le faire souffrir puisque pendant un long moment ce fut réellement son intention. « Je tiens au bien-être d'Illaria comme à celui de tous les enfants... » Elle n'essaya pas de se justifier, elle n'avait pas envie de créer ce climat autour de leur fille malade, si Saevus voulait la détester de tout son être, elle le laissait faire de toute façon elle ne pouvait rien y changer. Elle ne le quitta pas des yeux alors qu'il s'approchait d'elle. Son regard était menaçant et Régina voyait bien qu'il n'avait pas l'intention de la laisser passer du temps auprès d'eux.

Son attention quitta rapidement les reproches de Saevus pour se poser sur sa fille, elle se retenait d'approcher même si la supplication de sa fille l'avait grandement bousculé. Dès le moment où Saevus confirma d'un signe de tête qu'elle pouvait approcher, Régina se dirigea de l'autre côté du lit afin de prendre la main libre de sa fille. « Je suis là ma chérie...» De sa main libre, elle se mit à caresser les cheveux blonds de sa petite chérie. Elles se ressemblaient tellement. « Tout va bien, endors toi ma princesse, maman sera là à ton réveil. » Elle savait bien que son époux risquait de s'y opposer à nouveau, mais elle voulais profiter de ce moment où il tolérait sa présence pour régler quelque chose. Elle caressa les cheveux de leur fille jusqu'à ce que celle-ci soit emportée à nouveau par le sommeil. « Saevus.. Laisse-moi tout t'expliquer. Il y a tellement de chose que tu dois savoir. » Ce qu'elle avait fait était impardonnable, mais elle ne pouvait s'empêcher d’espérer qu'il lui pardonne.. Lorsqu'elle était plus raisonnable, elle espérait simplement qu'il croit ce qu'elle lui dirait. « Et si on faisait un serment inviolable ? Si je faisais serment de ne plus jamais te mentir ? Me laisserais-tu la chance de m'expliquer ? »

Régina ne put s'empêcher de sourire lorsqu'elle vit Victor entré dans la pièce. Elle s'était beaucoup rapproché amicalement du jumeau de son époux depuis leur séparation. Elle l'avait toujours grandement apprécié. Elle lui adressa un regard complice. « Merci. » Son époux semblait ne prendre aucun plaisir au contact de leur bras l'un contre l'autre, mais après tant d'années, cette simple proximité lui faisait le plus grand bien. Régina ne put s'opposer au changement dans le nom pour le formule, les chances que tout soit gâchée suite à ce détail était effectivement grande, mais la façon avec laquelle son mari l'avait dit mélanger avec le regard qu'il lui adressait rendait les choses tellement souffrante. Elle ne pouvait s'empêcher d’espéré que ce soir allait tout changer... Que Saevus allait la serrer dans ses bras en entendant la vérité et qu'il reprendrait leur relation passionnelle là où il l'avait laissé. Elle resta néanmoins concentrée sur son mari, écoutant la cérémonie prononcer dans Victor, lorsqu'il lui demanda si elle s'engageait à dire la véritable version des faits sur leur relation, Régina n'hésita pas un seul instant avant de répondre. « Oui » Elle attendit quelques instants le temps de prendre sa respiration et renchérit cette promesse, consciente qu'elle allait sans aucun doute surprendre les jumeaux Lancaster. « Je m'engage également à lui dire la vérité... toute la vérité, jusqu'à mon dernier souffle. »

Elle avait brièvement résumé ce rajout à faire à leur serment inviolable afin que Victor puisse le dire à son tour en tant que maître de cérémonie et qu'elle s'y engage officiellement afin qu'il soit lié par cette nouvelle promesse. Elle ne s'engageait pas seulement à lui dire la vérité sur leur relation, elle s'engageait a toujours lui dire la vérité et ce pour le futur, peu importe ce qui arriverait de leu relation. Régina scruta son regard, espérant pouvoir y lire sa réaction. Régina était consciente que les révélations à venir serait difficiles à dire, elle avait de la difficulté à croire qu'elle était prête a tout dire... Elle avait tellement eu l'habitude de mentir et manipuler pour tous les aspects de sa vie que de s'engager à dire toute la vérité à un homme était sans aucun doute l'un des plus grand sacrifice de soi qu'elle pouvait faire. Ce sacrifice en vaudrait la peine s'il lui permettait de revoir ses enfants et encore plus si elle pouvait retrouver son mari. Elle était prête pour la suite et attendit que Victor scelle son engagement avant de se lancer des les explications qui promettaient d'être longues.

Régina n'hésita pas avant d'accepter cette reformulation de son engagement, après tout, elle n'avait pas réalisé pleinement tout ce qu'impliquait cette promesse, son plus grands souhait était de lui prouver qu'elle pouvait lui être honnête et si ce n'aurait été de son meilleur ami, elle aurait pu mourir pour une simple blague. « Je le jure. » Victor compléta alors la petite cérémonie et voilà que c'était fait. Elle lui retourna son sourire, reconnaissante de sa présence pour l'aider, et le regarda quitter la chambre avant de retourner son attention sur son époux. Régina refusait de croire que ses paroles ne pourraient rien changer. Il ne savait pas tout... simplement les grandes lignes, les parties les plus cruelles de l'histoire. Peut-être comprendrait-il lorsqu'elle lui aurait dit toute l'histoire.... Elle préféra ne rien rétorquer, espérant que ce soit faux. L'entendre l’appeler par son prénom plutôt que son nom à la naissance lui faisait étrangement beaucoup de bien et ce malgré les menaces qui l'accompagnait. Dès l'instant où sa main vint se poser contre sa joue, Régina ferma instinctivement les yeux, il y avait tellement de douceur dans ce contact, elle aurait voulu qu'il ne se termine jamais. « J'en paye déjà le prix... » Saevus ne pouvait pas encore réaliser à quel point elle l'aimait, a quel point elle aimait les enfants. Il ne pouvait pas encore comprendre toute la souffrance qu'elle avait, elle était consciente d'être la seule responsable de cette douleur. Elle était déjà grandement punie, mais elle ne pouvait lui reprocher de ne pas trouver cela suffisant. « Je suis toujours là mon amour. »

Déçue, Régina le regard s'éloigner d'elle, rompre ce contact physique qui les avaient unis quelques instants. L'heure de vérité venait de sonné. Elle avait attendu tellement longtemps de pouvoir lui expliquer. Elle savait qu'il serait difficile d'entendre la véritable raison de leur rencontre, mais elle espérait que la suite de son récit viendrait adoucir les révélations qu'elle s’apprêtait à faire. « Dès le moment où mon père a été arrêté, je me suis mise à chercher un moyen de me protéger, mais aussi un moyen de me venger... Je croyais avoir trouvé les deux avec toi. » Régina lui adressa un sourire navré. « J'ai fait tombé ce mouchoir pour provoquer une discussion, pour me confirmer que j'avais réussis à te charmer. Je te jugeais en partie responsable de la peine de mon père et je souhaitais plus que tout te faire souffrir, mais avant je devais me mettre en sécurité. L'idée de te rendre amoureux pour ensuite te détruire m'était très attrayante à l'époque. » Régina fit un pas vers lui afin d'être le plus près possible. « C'est horrible... je sais. J'en suis tellement navrée. » Elle tenta de prendre sa main dans la sienne. « Les choses ont commencées à changer peu de temps après notre mariage, lorsque tu m'a défendu avec brio de ses mangemorts. À partir de ce moment, ma curiosité pour toi a augmenter, tout comme ma haine a diminuée. » D'avoir enfin avouer la pire partie de ses agissements face à lui lui faisait le plus grand bien. Elle attendit de bien voir sa réaction afin de continuer vers du plus positif.

Régina resta au départ sans mot devant la question qu'il venait de lui poser. Ce qu'elle aurait fait ? Les idées de Camila Vasilis à ce moment était des plus noires et des plus vicieuses, l'idée de lui donner son intention au départ la faisait terriblement souffrir et elle devait serrer les dents pour tenter de contrôler les émotions qui l'envahissaient. « Saevus... En quoi cela peut-il t'aider ? » Avait-il conscience et toute la douleur qu'il lui procurait en lui posant cette question. Régina se demandait ce qu'il en retirerait mise-à-part un dégout encore plus grand d'elle si c'était humainement possible. Lorsqu'il lui dit de ne pas avoir peur de donner des détails, elle finit pas prononcer quelques mots, comme si cela pouvait changer quelque chose à ce qui allait suivre. « Un peu amouracher ? Saevus je suis éperdument amoureuse de toi. Tu as beau souhaiter ma destruction depuis maintenant deux ans, je n'ai jamais cesser de t'aimer... Tu es le seul et tu le restera. » Parce que oui, malgré ses deux ans d'haine de sa part, Régina n'avait jamais trahi son exclusivité, elle n'avait touché ni les lèvres, ni les draps d'aucun autre homme.

Après un moment, elle réussit enfin par tout avouer. « Je voulais t'utiliser comme couverture aussi longtemps que nécessaire pour mettre en place le plan final... J'avais prévu piégé quelques mangemort afin de te prendre prisonnier...» Elle arrêta et dégluti avec difficulté avant de continuer. « Je voulais te révéler ma réelle identité avant de te faire vivre les plus atroce souffrance et te laisser mourir au bout de longues heures, voir journées... » Elle n'était pas arrivée à soutenir son regard en prononçant ces mots. Fixant le planché, elle révéla la fin de ce terrible plan. « D'autres mangemorts auraient eu ton meurtre sur le dos... Et moi j'aurais jouer les veuves éplorées et complètement détruite pas la mort du héro. J'aurais eu une couverture éternelle entant que la veuve Régina Lancaster.. Celle qui s'occupe seule des enfants. » Elle avait beau avoir eu des pensées des plus obscurs, il n'y avait aucun moment où elle n'avait pas aimé les enfants et probablement qu'elle n'aurait jamais été capable d'aller au bout de son idée même si elle n'était pas tombée amoureuse de lui, simplement pour ne pas leur faire subir la vie sans leur père. « Je n'ai jamais eu l'intention de faire du mal au enfant, je serais restée à leurs côtés et jamais ils n'auraient appris quoi que ce soit. »

Régina releva enfin les yeux afin de les poser dans ceux de son époux. Des lueurs de larmes y étaient visible et elle ne tenta même plus de les cacher. « J'ignore si j'en aurais été capable. » Régina tourna son regard vers Illaria un moment, est-ce qu'elle aurait pu commettre un telle geste ? Impossible pour elle de le dire. « Et si tu me demandais à quel moment je suis tombée amoureuse de toi ? N'as-tu pas envie de savoir comment tu es parvenu à faire de moi une meilleure personne ? »

Régina resta surprise lorsque son époux sut exactement à quel moment elle avait comprit qu'elle était amoureuse de lui. La différence dans sa façon d'agir avec lui avait-elle été si évidente ? Elle hocha la tête, sans dire un mot. Elle se ra pellait parfaitement de chaque détail de cette magnifique journée. Elle leva les yeux vers lui lorsqu'elle entendit ses pas se diriger vers la fenêtre. Elle ne vint pas interrompre son idée, curieuse de savoir ce qu'il avait trouvé de différent chez elle lors de cette journée. Elle se revoyait encore tendre les bras vers l'enfant, Saevus à ses côtés, et apercevoir ce magnifique petit visage pour la première fois. Elle ignorait que son regard l'avait trahi, en même temps, dans un moment de pur bonheur comme ce l'était, la dernière chose à laquelle elle avait pensé était de jouer la comédie. C'était d'ailleurs une nouvelle preuve que son amour pour lui était devenu sincère quand elle y repensait. Elle ne fuit pas son regard cette fois alors qu'il s'approchait d'elle. Avait-elle eue un choc d'aimer un bébé ressemblant à celui qu'elle croyait haïr ? Bien sure que oui. Régina avait du mal à croire qu'il semble être capable de la comprendre même lorsque son masque était tombé. Elle était convaincue qu'ils étaient fait l'un pour l'autre.

« Non... Tu as visé juste. » Régina ne put s'empêcher de lui adresse un doux sourire.« Mais l'étonnement n'était pas dû a ma surprise d'aimer cet enfant.. » Elle ne quittait pas le regard sombre de Saevus, le regardant de la même façon que lors de la naissance d'Éléandra. « Je me suis surprise d'être heureuse qu'elle te ressemble. » Régina avait encore bien en mémoire le regard haineux qu'il lui avait lancé plus tôt lorsqu'elle avait tenté de caresser sa main, mais elle essaya a nouveau, approchant doucement sa main de la sienne, lui laissant le choix de la repousser encore une fois ou non. « J'ai réalisé à ce moment que j'étais tombée amoureuse de toi sans vraiment m'en rendre compte. Que je m'étais fait prendre à mon propre jeu. Le plus étonnant pour moi à ce moment, était que je n'avais pas envie de faire s'éteindre cet amour. » Régina donnerait tout pour pouvoir revivre ce moment. « J'ai alors décidé de devenir pleinement Régina Lancaster. J'ai laissé de côté les mangemorts de façon progressive, pour ensuite tout arrêter quelques années plus tard. » Régina ne l'avait pas quitté des yeux, elle espérait tellement le convaincre que leur histoire était vrai. Elle voulait sentir à nouveau la sensation de ses doigts contre sa peau nue, pouvoir gouter encore et encore au goût de ses lèvres et aux frissons qu'elles lui procuraient. « Me crois-tu lorsque je te dis à quel point je t'aime Saevus Lancaster ? Si non, demande moi de dire la vérité. Je donnerais tout pour que tu cesse de me haïr. »

Je n'arrive pas a te pardonner. Ces paroles résonnaient comme un écho dans sa tête. Régina se sentait complètement détruite. Elle avait passé deux ans a espèrer pouvoir dire à son époux la vraie histoire. Deux ans à croire qu'il lui restait une petite chance de le reconquérir. Nombreux étaient les nuits où Saevus apparaissait des ses rêves et où elles s'imaginaient leurs retrouvailles. Tous ces rêves venaient d'être pulvérisés en l'espace de quelques paroles. Elle reprit contact avec la réalité seulement lorsqu'il recommença son discours, elle avait beau être légèrement consolé à l'idée de pouvoir être au côté de sa fille pendant deux jours, mais l'idée qu'elle devrait ensuite retourné dans la vie de Yulia Roosevelt et qu'en plus ne pas pouvoir l'aimer à nouveau, il avait toujours envie de l'envoyer passer le reste des jours en prison. Régina fixait un point invisible derrière Saevus. Elle ne voulait pas croiser son regard et elle ferait en sorte de ne plus le croiser pendant les deux jours qui allaient suivre. Elle avait déjà bien assez de son odeur corporel qui lui brulait l'intérieur au grand complet tellement c'était douloureux de l'avoir si près et si loin à la fois.

Elle se serait probablement écroulée contre le sol si Illaria ne l'avait pas appelé. Le réalisant, elle ne perdit pas d'avantage de temps et se dirigea vers elle, tentant de paraître rassurée et surtout rassurante. « Maman est toujours là ma jolie... Ne t'inquiète pas. » Elle s'agenouilla auprès de sa fille et elle commença a jouer dans ses cheveux à nouveau, comme elle lui faisait lorsqu'elle venait la border avant la nuit. « Je vais passé deux jours avec toi ma princesse. Tu peux te calmer. Repose toi, tu as besoin de reprendre des forces. » La voix de Régina était enrouée par l’émotion, mais elle utilisait toute sa force pour que sa fille n'en ai pas connaissance. Elle se concentra sur les prunelles d'un bleu identique au sien afin de se rassurer légèrement et elle commença à lui chanter cette berceuse qu'elle aimait tant. Régina avait toujours adorée chanter pour ses quatre petits chéris, particulièrement lorsque l'un d'eux était malade. Elle continua sa chansons afin de calmer sa fille et la laisse libre de s'endormir ou non une fois qu'elle eut terminé. Lui donner toute son attention lui permettait de ne pas penser à ce qui venait d'arriver, mais elle craignait déjà le moment où elle serait de retour dans son appartement.