Curtis + Cowardice has no limit.

Curtis Shafiq

Les ruses et les machinations ténébreuses ont été imaginées par les hommes pour venir en aide à leur lâcheté.

you can't exist without your soul.

nom complet

+ Curtis, un prénom simple choisit par sa défunte mère. Shafiq, un nom de famille bien connu en Angleterre mais sûrement pas pour de bonnes raisons.

âge

+ Vingt-sept ans.

origines

+ Anglaises.

sang

+ Indéniablement pur et quand bien même ceci pose problème à l'heure d'aujourd'hui, les Shafiq sont bien trop fier pour ne serait-ce que songer à l'idée de briser la lignée.

métier

+ Avocat véreux, patron de son propre cabinet.

ancienne maison

+ Serpentard.

statut civil

+ Marié, même si cette union est loin d'être basée sur de l'amour.

orientation sexuelle

+ Hétérosexuelle.

idéologie

+ Les idéaux des Shafiq sont connus de tous. Ils sont d'anciens partisans du défunt Lord et prônent toujours la suprématie de la pureté du sang, bien qu'ils ne puissent plus le faire au grand jour.

groupe

+ Les muselés.

avatar

+ Aaron Paul.

je pense donc je suis.

Auparavant cadet de la famille Shafiq, le voilà à présent fils unique depuis la bataille de Poudlard. Bataille durant laquelle il a perdu son frère aîné. + Lorsqu'il était jeune, il vivait clairement dans l'ombre de son frère et aujourd'hui, quand bien même est-ce cruel, une part de lui ne peut s'empêcher d'être ravie à l'idée que celui-ci est finalement disparu. + Sa mère est quant-à elle décédé lorsqu'il avait à peine dix ans des suites d'une longue et douloureuse maladie. Il n'a jamais connu de relation fusionnel avec elle, ni même avec son père. Au contraire, il avait l'impression de ne pas être aimé, voir pas même désiré. + Son père s'est fait emprisonner quelques jours après l’attaque contre les familles de l'ordre du phoenix en 1998 pour le meurtre Sturgis Podmore. Depuis, Curtis se rends à Azkaban tous les 1er du mois afin d'entretenir leur relation qui est en réalité quasi inexistante. + A l'époque, il avait refusé de participer à cette attaque et il soupçonne son père de toujours lui en vouloir à cause de cela, quand bien même n'en ont-ils jamais reparlé. + Curtis est un fin stratège. Il a reprit le cabinet d'avocat de son père suite à son incarcération et le mène à présent d'une main de maître. D'ailleurs, il est connu pour gagner toutes ses affaires mais, autant pour l’illégalité des ses actions. + Toutefois, il a toujours réussi à passer entre les mailles du filet du ministère, quand bien même se fait-il contrôler régulièrement. + Ambitieux, il ne recule devant rien ni personne pour parvenir à ses fins. + Il est lâche et n'a aucune valeur morale. + C'est un garçon calme en apparence mais, chacun sait qu'il est juste une bombe à retardement. + Il a été forcé de se marier à une sang-pur à sa sortie de Poudlard. Avant ça, il entretenait une liaison cachée avec une sang-de-bourbe. Liaison qu'il n'a pas stoppé après son mariage puisque durant de longues années il a continué à trompé sa femme mais, lorsque la vérité est arrivée aux oreilles de celle-ci, il a lâchement laissé tombé sa maîtresse malgré ses sentiments, allant même jusqu'à magouiller avec son père pour la faire enfermer à Ste Mangouste en prétextant la folie pour parer toute potentiel nuisance envers la famille Shafiq.

le moldu derrière la baguette.

It's me, again. Jennifer alias Minie., l'une des fondatrices de Valar Dohaeris ! Et oui je suis faible, j'ai succombé à la tentation d'un DC..

raconte moi ton histoire.

Shithead life.

I. Une vie de second. « Ta cravate, Curtis ! » La voix de sa mère résonna dans la pièce et ses yeux si noirs détaillèrent de haut en bas le cadet de la famille. « Oui, mère. » Oui, elle le détaillait mais, il ne pouvait s'enlever de l'esprit la pensée que si sa mère le fixait aussi intensément, c'était en quête d'une mauvaise chose et non simplement pour vérifier l'allure pourtant parfaite de son dernier. « Parfait. » Une deuxième fois, la voix de cette femme si droite mais, si froide, s'éleva dans la pièce et bien entendu ce simple mot qu'elle venait de dire s'adressait à Phineas. Oui, Curtis n'eut pas même besoin de détourner les yeux du tableau que depuis plusieurs minutes déjà il regardait pour comprendre qu'une nouvelle fois, son frère se voyait mètre en avant alors que lui ne restait qu'un bon second. Toutefois, il pouvait presque sentir le regard que sûrement Phineas portait sur lui en cet instant. Un regard fier, provocateur. Un regard que sûrement un grand-frère ne devrait pas avoir. Pourtant, un regard que trop souvent Curtis pouvait voir. Il avait huit ans, son frère en avait quatorze. Oui, il avait huit ans. Huit années durant lesquelles il avait eu le temps de s’habituer à la situation. Huit années qui l'ont aidé à prendre du recul, à se dire que les choses étaient ainsi et à accepter son sort. Être second était-il si mal ? Peut-être pas. Non, sûrement n'était-ce pas si mal en soit mais, il était bien difficile d'accepter la situation lorsque tant d’efforts avaient été déployés d'un côté, du côté du Curtis et si peut de l'autre. Rien, Phineas ne faisait rien et pourtant, toute l'attention était portée sur lui. Tous les espoirs reposaient sur ses épaules. Pourquoi ? Le cadet n'en avait pas la moindre idée et n'était réellement certain de vouloir connaître la réponse. Une vie de second, voilà à quoi il était destiné, voilà ce que durant toute sa vie il devrait endurer et Dieu seul savait en cet instant à quel point il maudissait cette famille qui ne lui apportait rien.

II. Quand le loup l'éprend de l'agneau « Bougez de là. » Son regard transperçait celui de ses opposants. On pouvait lire la détermination dans ses yeux, mais aussi une certaine mise en garde. Ou peut-être était-ce des menaces. Oui, sûrement était-ce des menaces. Lui qui à l'habitude semblait si calme avait haussé le tons, preuve qu'il ne valait mieux pas remettre en doute ses paroles et exécuter ses ordres, sans conditions.Trois garçons quittèrent les lieux sans demander leur reste. Un quatrième, sûrement soucieux de vouloir tester son courage était resté mais, avait vite reculé lorsqu'en regardant derrière lui, s'était rendu compte qu'il était seul. Alors, lui aussi était partit, pas sans un regard mauvais à l'égard de Curtis mais, sans dire un mot. Sans dire un mot, c'est aussi la manière dont le vert et argent quitta les lieux. Oui, sans un mot mais, pas sans que ses pupilles ne se posent sur celles de la blonde qu'il venait de défendre. Il l'avait regardé. Une seconde, deux secondes. Peut-être davantage, mais en réalité sûrement moins. Il l'avait regardé puis, sans un mot s'en était aller. Le visage impassible, laissant derrière lui de nombreuses questions. Ne serait-ce que la raison pour laquelle il avait jugé bon de prendre la parole. Pour laquelle il avait voulu adoucir l'existence de cette sang-de-bourbe que lui-même martyrisait depuis des années. Ou même pour laquelle il s'en allait ainsi, tête haute, comme si rien ne c'était passé, laissant derrière lui celle qu'il considérait sûrement à présent comme sa propriété. Oui, sa propriété. Pourquoi ? Parce que depuis le premier jour ou cette fille et lui avaient passé le seuil de l'école de sorcellerie il était son bourreau. Celui qui se moquait, qui s'exaltait de pouvoir la tourner en ridicule, de pouvoir la blesser. Lorsqu'il voyait de la rage sur le visage de cette fille, il était heureux. Oui, le malheur de cette sang-de-bourbe le rendait heureux, satisfait, bien plus qu'il ne l'avait jamais été. Il la méprisait mais, lui seul le pouvait. Elle était sa chose. La chose qu'il manipulait, qu'il rabaissait. Elle était sienne, elle serait toujours sienne et il éliminerait tous ceux qui oseraient s'en approcher, tous ceux qui seraient susceptibles de lui enlever Sonata Verhoeven, l'impur dans les yeux de laquelle il se voyait exister.

III. Ne pas essayer vaut mieux qu'échouer. « Félicitations, monsieur Shafiq. » Le cadet avait le parchemin détaillant ses résultats aux ASPICS entre les mains. Neuf sur neuf. Il fixait ce résultat, adossé au mur de l'un des couloirs du premier étage. Couloir désert pensait-il. Pas tant que cela en réalité. Le directeur de sa maison avait sa main posée sur son épaule et dans son regard, il pouvait lire de la fierté. La fierté de voir l'un de ses élèves obtenir de bons résultats. La fierté d'avoir réussi à mener ses élèves sur le chemin de l'excellence. De la fierté. Oui, c'est ce qu'il voyait. Plus de fierté qu'il n'en avait jamais vu. Ou plutôt, plus de fierté que jamais il n'avait reçu puisqu'un tel regard ne lui était bien sûr pas inconnu. Oui, il avait déjà pu voir pareil fierté dans les yeux de sa mère mais, pas à son encontre. Jamais à son encontre. Toujours pour Phineas. Le cadet avait à présent dix-sept ans. Dix-sept années durant lesquelles il avait définitivement eu le temps de s'habituer à son rôle de second, quand bien même sa mère n'était-elle plus là pour le lui rappeler. Dix-sept années d’espérance inconsciente. Dix-sept année de dépits apparent. Tellement apparent que sûrement son directeur de maison devait lire dans les yeux de son élève la désolation. Tellement apparent que sûrement se demandait-il comment un si brillant élève qui certainement devrait être plus heureux que jamais affichait présentement une mine quasi déconfite. Oui, sûrement se demandait-il beaucoup de choses mais, plus sûrement encore n'osait-il demander, n'avait-il le temps de demander. Alors il serra entre ses lourdes paumes les mains du Serpentard prodigue qui présentement le gratifiait d'un sourire et qui quelques secondes plus tard, le regarda s'éloigner. Il le regarda. Regarda son professeur de sa démarche lourde s'éloigner de lui. Il le regardait et lorsque celui-ci tourna à l'angle d'un couloir, s’effaçant ainsi à l'horizon, il ne baissa pas les yeux. Non, il ne baissa pas les yeux et un déchirement se fit entendre. Il venait de fendre son bulletin de note en deux. A quoi bon le garder ? A qui donc le montrer ? Sûrement personne ne pourrait lui donner davantage de satisfaction que venais de le faire ce professeur pourtant si impersonnel. Il laissa les deux morceaux tomber de ses mains et s'en alla. Il s'en alla et quand les preuves de son intellect touchaient enfin le sol, il était bien loin déjà. Loin, seul et toujours plus empli de cette même haine qui depuis l'enfance l'habitait.

IV. A chacun son démon. A chacun de ses pas, c'était comme si la foule s'écartait pour lui laisser place. Avaient-ils peur ? Ou était-ce du respect ? Curtis ne le savait pas. La peur pouvait être une hypothèse plausible. Aussi calme était-il la plupart du temps, ses accès de colère n'étaient inconnus de personne. Intenable, de nombreux camarades avaient pu le constater. Pourtant, cela était occasionnel. Tellement épisodique qu'entre l'un et l'autre, certains semblaient oublier. Alors, était-ce vraiment de la peur qui forçait certaines personnes à ne pas s'approcher de lui ? Peut-être. Peut-être pas. Peut-être pas seulement. Le respect. Deuxième hypothèse pas moins plausible. Les Shafiq, famille respectée, influente et connue de tous. Famille qui ne cache que vaguement ses affiliations, son savoir, ses aptitudes à une magie peu connue des individus lambda. « De toute façon, tu ne crains rien. » Avait le matin même lancé l'un des camarades du vert et argent au milieu d'une conversation pesante, angoissante pour certains. Le genre de conversation que bien trop souvent on entendait en ces temps. Et il n'avait pu nier. Non, il n'avait pu trouver de contre arguments aux paroles de celui qu'il ne savait réellement comment considérer. Autrefois ami. Oui, autrefois, car maintenant de la méfiance se voyait sur le faciès de celui qui depuis des années partageait son temps libre avec le Shafiq. De la méfiance et pourtant, ce garçon était un sang-mêlé. Etait-il jaloux ? Sûrement. Avait-il peur ? Indéniablement. Et sûrement était-ce cette peur qui le poussait à la méfiance. Qui le poussait à ressentir un semblant de haine à l’égard du vert et argent. A l’égard de celui qui pourtant était son ami. Et il n'était pas le seul. Non. Ils étaient même trop nombreux. Son cercle sociable se restreignait. Considérablement. Rapidement. A tel point que l'idée que certains restaient par crainte, ou par espoir d'être épargnés en le fréquentant, ne pouvait être occulté. Hypocrite. Tel était le mot qui sûrement en ces temps définissait le mieux Poudlard. Définissait le mieux le monde. Associer à la peur et nombreux de ses synonymes. Des temps de doutes mais, doutes que Curtis ne partageait pas. Non, il ne les partageaient pas, car il était à l’abri. A l’abri de tout. Son sang, la pureté de son sang le protégeait. A tel point qu'il se sentait plus privilégié que jamais. Meilleur que jamais. Fallait-il que les trois quarts de la population soit décimé pour qu'enfin il ressente un brin d'amour-propre ? Peut-être. Sûrement mais, même si le Serpentard se sentait certainement plus important, plus fort et confiant que jamais du haut de ses dix-sept ans et grâce à la pureté de son sang, la triste réalité est qu'il restait le cadet. Alors les gens peuvent mourir, cela ne l’affectera pas. Non, la seule personne qu'il souhaiterait voir quitter ce monde c'est ce frère qu'il déteste depuis tant d'années. Car oui, aussi haut se retrouvera-t-il dans la hiérarchie que ne saurait tarder à imposer Lord Voldemort, aussi haut pourrait-il un jour s'y hisser, jamais et ce malgré tous ses efforts, il ne pourrait poser les pieds au sommet tant que Phineas serait toujours là.

V. Avancer, sans se retourner. Voilà que le loup et l'agneau entamaient une histoire. Elle était à lui, elle l'avait toujours été. Elle ne voulait pas y croire et voilà qu'aujourd'hui leurs corps s’entrelaçaient. Pour une nuit. Pour un mois. Pour une année, puis deux. Étaient-ils heureux ? Heureux d'entretenir ce secret? Car oui, personne ne le savait. Un sang-pur et une sang-de-bourbe. Cette relation n'aurait su être accepté auprès des Shafiq. Ne pouvait être acceptée. D'autant plus qu'un mariage se profilait. Était-ce l'union du loup et de l'agneau qu'à l'horizon on apercevait ? Non. Celui de Curtis et de celle pour qui il ne ressentait rien. Mais de celle à qui il n'avait d'autre choix que de demander la main. Une fille aussi pur que lui, une fille qui d'après son père devait lui apporter le bonheur. Une fille bien, qui ferait de lui quelqu'un de bien. Il avait vingt-ans et déjà, son destin était scellé. Son destin avait été décidé. Avocat comme son père, c'est donc vers cette voie qu'il s'était dirigé. C'est pour reprendre le flambeau que chaque jour il continuait d'étudier. Brillant élève, brillant second à la vie toute tracé avec pour seul bonheur les yeux d'une femme qui ne figurerait jamais à ses côtés.

VI. Le mépris mène au pouvoir. Bataille perdue, sang-pur déchus. Aurait-il cru un jour être relégué au second plan par quelqu'un d'autre que son frère ? Non. Définitivement pas. Sa haine l'avait aveuglé et maintenant que son seul obstacle s'était effondré, il était perdu. Perdu sans ce frère, sans celui que toute sa vie il avait détesté, sans celui qui avait finalement perdu la vie sans que Curtis lui même ne s'y attendre, sans qu'il n'y soit pour quoi que ce soit. Il avait perdu la vie durant cette bataille qui avait tout changé. Il avait perdu la vie, quelques minutes seulement avant celui qui les réunissaient. Avant Lord Voldemort. Tous deux mangemorts, tous deux en quête de pouvoir et de cette bataille, un seul en était sortit vivant. Curtis. Le cadet. Celui en qui personne ne croyait. Celui qui pourtant peu de temps après avait pu esquisser un sourire face au tombeau sur lequel était gravé le nom de son aîné. Soulagé, il l'était. Soulagé d'être enfin seul, soulagé d'avoir finit par gagner. Soulagé d'être au sommet et à présent qu'il l'était, à quoi bon continuer de se battre ? La mort de son frère était sa victoire et nulle autre trophée ne l’intéressait. Nul autre, pas même ces familles que son père avait pourtant essayé de le forcer à tuer. Essayé oui, car il ne l'avait pas fait. Non, il avait refusé. Pas par crainte, pas par besoin de s'affirmer. Non, seulement parce qu'il n'en voyait pas l’intérêt. Il avait gagné. Il avait atteint le sommet, même si tout allait changer. Même si son maître, le défunt Lord, n'était plus là pour le guider. Même si son père, suite à cette attaque c'était fait emprisonner. Il avait gagné et il était confiant. Confiant quant-à l'avenir, confiant quant-à sa propre personne. Oui, il était confiant, définitivement confiant et le monde lui paraissait bien beau à présent que Phineas n'en faisait plus partit.

VII. La lâcheté n'a pas de limite. Seul, l'était-il réellement ? Père absent mais, que chaque premier du mois il allait visiter. Femme aimante mais, par qui jamais il n'avait été attiré, que depuis toujours il trompait. Et elle. Elle, la seule qu'il avait aimé. Celle qu'il avait brisé. Oui, brisé. En des milliers de morceaux qui jamais ne pourraient se recoller. Jamais, du moins pas tant qu'un Shafiq foulerait toujours le sol de ce monde. Et à l'origine de cet enfer que la sang-de-bourbe vit depuis tant d'années n'est pas la femme du présentement unique héritier mais, plutôt l'égoïsme de celui-ci. Égoïste, il l'avait été. Égoïste d'avoir voulu la garder. Égoïste de l'avoir considéré comme sa chose mais, elle était à lui. Elle l'avait toujours été alors, aurait-elle dû la laisser ? Il ne le pensait pas. Il ne le penserait jamais et pourtant, il sait qu'il l'a brisé. Il lui a prit son cœur, son âme, sa liberté. Sur les conseils de son paternel, soucieux de ne pas voir la lignée si pure de leur famille se briser, il a asséné le dernier coup de grâce à celle qui le faisait se sentir si fort.Internée, voilà ce qu'elle est. Folle, voilà comment elle est considérée. Mais n'est-ce pas ce qu'elle est, finalement ? Folle d'avoir penser pouvoir l'aimer. Folle de s'être trop approchée. Folle de s'être elle-même livrée, de s'être finalement elle-même planté le couteau qui la tuerait.

TU ES FAIBLE cunilungus

TELLEMENT

Je me fatigue à un point, si tu savais simpliciiiitéééé

(non, je n'ai rien d'autre à dire il est cute quoiii

)

I love you too, Sonata j'ai maaaal

(je sais que je suis même pas validée/fiche pas terminée et tout, mais je peux pas m'en empêcher....

AARON PAUL love

... j'ai fini. t'as du goût bril

)

Mais voyons, tout le monde sait que je suis la femme de ta vie ~~(et de ta mort)~~, that's all. mouhahah

Jolem ce mec love3

D'ailleurs il nous faudra un lien, le bonhomme à envoyé sa maîtresse à Ste Mangouste pour ne plus l'avoir dans les pattes, alors peut-être qu'elle entendra parler de lui avec la jolie Sonata qui elle aussi est internée simpliciiiitéééé

~~C'est moi ou je suis déjà entrain d'embarquer les gens dans ma folie ? XD~~

Et bah tien, quand on parle du loup ! Voilà la charmante folle u'r crazy

ehhh attention, oublie pas que j'ai des dragons quand même... fireeeee

~~b*tch~~.

( i'm the best

)

*retourne dans sa cellule avant de se faire chicaner*

ça fight ici.. j'aime.
T'ES UN MECHANT SANG-PUR QUI MARTYRISE LES NES-MOLDU, viens on se tape !

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Curtis + Cowardice has no limit.

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